Sans l'aiguilleur du ciel, le trafic aérien tournerait bien vite à la catastrophe. Ils sont 4 000 en France par exemple à guider, nuit et jour, 1,7 millions de vols par an (l'un des trafics aériens les plus importants au monde) et à faire décoller et atterrir les avions en toute sécurité... et par tous les temps.
Du haut de sa tour de contrôle, rivé aux engins électroniques et informatiques, aux radars et aux radios, l'aiguilleur du ciel indique aussi aux pilotes la «route» à suivre pendant le vol, pour éviter que deux avions ne se trouvent sur le même palier ou pour contourner le mauvais temps. Les communications se font par messages brefs et précis (en anglais, bien évidemment).
Il est souvent aux manettes de huit à douze heures d'affilée heureusement en équipe avec un autre aiguilleur : l'un à la radio, l'autre au radar, toujours en contact permanent avec le centre météo et avec les pilotes.
Dans les aéroports, il trône au sommet de la tour de contrôle.
Cependant, on ignore que l'aiguilleur peut aussi travailler dans les centres de route. Il dirige alors les avions durant la phase «en route» du vol.
Du haut de sa tour de contrôle, rivé aux engins électroniques et informatiques, aux radars et aux radios, l'aiguilleur du ciel indique aussi aux pilotes la «route» à suivre pendant le vol, pour éviter que deux avions ne se trouvent sur le même palier ou pour contourner le mauvais temps. Les communications se font par messages brefs et précis (en anglais, bien évidemment).
Il est souvent aux manettes de huit à douze heures d'affilée heureusement en équipe avec un autre aiguilleur : l'un à la radio, l'autre au radar, toujours en contact permanent avec le centre météo et avec les pilotes.
Dans les aéroports, il trône au sommet de la tour de contrôle.
Cependant, on ignore que l'aiguilleur peut aussi travailler dans les centres de route. Il dirige alors les avions durant la phase «en route» du vol.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire